En 2024, la PFL a vécu des moments forts, marqués notamment par les débuts spectaculaires de Francis Ngannou et l’émergence de Dakota Ditcheva, une des nouvelles figures emblématiques de la promotion. Néanmoins, cette année a également présenté son lot de défis ardus, dont certains persistent alors que nous entamons 2025.
Le fondateur de la PFL, Donn Davis, a abordé ces problématiques dans une récente publication sur LinkedIn qui a suscité une attention controversée. Dans un élan de transparence, cherchant à dévoiler les coulisses parfois sombres de l’entrepreneuriat, Davis a énuméré les « 5 événements désagréables qui ont touché la PFL en 2024 ».
La majorité des points évoqués relèvent des péripéties en dehors des rings, des situations que les amateurs de combats auraient méconnues. Davis a partagé certains des défis auxquels ils ont dû faire face, inhérents à la gestion d’une entreprise d’une telle envergure. Il a notamment révélé qu’en 2024, ils ont dû naviguer entre des investisseurs potentiels dont le temps a été gaspillé, des partenariats publicitaires qui se sont effondrés, les coûts liés à l’expansion internationale dans de nouvelles régions, et un retard dans les projets de la promotion causé par l’un de leurs associés.
Le troisième point de sa liste mérite une attention toute particulière, car, contrairement aux autres soucis, celui-ci s’est déroulé sous le regard du public. L’acquisition de Bellator par la PFL a indéniablement bonifié leur produit globalement, enrichissant leur roster avec des talents de qualité. Cependant, jongler pour maintenir tous ces combattants occupés et satisfaits s’est avéré être un vrai casse-tête, plusieurs figures emblématiques exprimant ouvertement leur mécontentement concernant leur traitement.
Davis a fait allusion à cette situation dans son message, semblant reprocher à ces athlètes leurs déclarations qui, selon lui, nuisent à l’image de la promotion.
« Certains combattants vedettes de Bellator se sont plaints sur les réseaux sociaux de ne pas avoir de combats, donnant l’impression que la PFL ne respecte pas nos contrats. »