Les champions de Bellator, Patchy Mix et Corey Anderson, expriment leur mécontentement face à la rareté des combats depuis l’acquisition par la PFL.

Patchy Mix, connu pour sa technique exceptionnelle dans les arts martiaux mixtes, et Corey Anderson, un vétéran redoutable de l’octogone, ne cachent pas leur frustration face à la baisse d’opportunités de se battre depuis que la PFL a pris les rênes de Bellator. Tous deux, pesant respectivement environ 61 kg et 93 kg, sont des figures incontournables de leur catégorie, mais semblent aujourd’hui laissés sur la touche.

Lors de récents entretiens, Mix et Anderson ont partagé leur agacement face à ce qu’ils ressentent comme une période de stagnation dans leur carrière. Mix, avec son parcours impressionnant dans la catégorie bantamweight, a déclaré : « Je suis prêt à monter dans la cage à tout moment. J’ai travaillé dur pour être là où je suis, et je veux défendre mon titre. »

De son côté, Anderson, avec un palmarès qui ferait rougir bien des champions, insiste sur le fait que le manque d’activité nuit à sa dynamique compétitive. « S’entraîner sans avoir de date précise en tête, c’est perdre en intensité. Je veux des combats réguliers pour continuer à progresser », a-t-il affirmé.

Dans le contexte actuel, où la PFL cherche à harmoniser ses opérations après l’acquisition de Bellator, ces témoignages soulignent les défis que l’organisation doit relever. De nombreux observateurs du monde des arts martiaux mixtes se demandent si cette transition ne pourrait pas bénéficier de combats plus fréquents pour maintenir l’intérêt des fans et l’engagement des athlètes.

Historiquement, de grands noms ont forgé leur légende dans l’arène de Bellator, et il est crucial pour la nouvelle direction de s’assurer que leurs stars actuelles ne perdent pas leur élan. Les fans de combat, qui rêvent de performances mémorables et d’affrontements épiques, espèrent ardemment que ces frustrations se transformeront bientôt en annonces de combats spectaculaires.

Pour l’instant, Mix et Anderson continuent de s’entraîner sans relâche, en attendant le signal de départ. L’avenir nous dira si la PFL réussira à répondre aux attentes de ses champions et à maintenir la flamme des compétitions enflammées qu’ils ont toujours offertes.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici