La chronique du combat : réflexions sur le monde de la boxe
C’est le moment tant attendu de votre dose hebdomadaire de Stephen “Breadman” Edwards ! Dans cette édition, il aborde de nombreux sujets allant des trolls sur Internet à l’importance des plans de match, en passant par des analyses sur Marlon Starling, Boots et Norman. Accrochez-vous, ça promet d’être captivant !
Tout d’abord, parlons des trolls. Edwards les décrit avec une franchise déconcertante : « Man, I have trolls everywhere… They love to see people struggle or lose. Basically they are haters with access because of the internet. I enjoy killing them because I know they read everything. » Il souligne comment ces individus, souvent insatisfaits de leur propre vie, cherchent à rabaisser les autres plutôt que de se concentrer sur leurs propres objectifs.
En ce qui concerne les boxeurs, il fait un parallèle intéressant entre RJ et Boots. « RJ did have a tough time getting big fights but he was further along than Boots was at this same point. Remember, RJ fought Bernard Hopkins for the IBF middleweight title in 1993. RJ was 24, Boots is 27 now. » Edwards tempère ses attentes pour Boots tout en reconnaissant son potentiel immense à l’avenir. Selon lui, Matchroom a fait un excellent travail pour le mettre en avant, mais il reste encore beaucoup à faire pour qu’il décroche des combats de premier plan dans la catégorie des 66,7 kg.
Concernant la capacité des boxeurs à performer dans les moments critiques, Edwards est catégorique. À la question sur les meilleurs combattants capables de dominer les derniers rounds d’un combat, il énonce son choix : « At 135 I would pick Floyd Mayweather… At 147, my choice is Ray Leonard… At 160 I would say Roy Jones… At heavyweight, Muhammad Ali. » Ces choix ne sont pas surprenants, chacun des cités ayant fait preuve d’une capacité extraordinaire à se surpasser lorsque la pression est à son comble.
Les interrogations autour de Terence Crawford et son avenir sont également au cœur de la discussion. Edwards ne cache pas son scepticisme concernant un combat contre Canelo Alvarez. « I don’t know what Crawford’s next move is… 154 has better options and he’s only fought one fight there. Let’s see what happens. » Il assure qu’un affrontement avec Alvarez n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît, et qu’il serait bien plus judicieux pour Crawford de s’attaquer aux champions de sa catégorie, comme Boots ou Ortiz.
Marlon Starling, souvent oublié dans les discussions sur le Hall of Fame, suscite aussi la passion d’Edwards. La mention de Starling provoque un vif débat sur son héritage : « Marlon Starling not being in the Hall of Fame is a disgrace… he had too many scalps of too many good fighters not to be in there. » Son manque de reconnaissance est perçu par Edwards comme une injustice, probablement en raison de ses victoires sur des boxeurs prévus pour succéder à des légendes du sport.
Sur un autre registre, la performance d’Edgar Berlanga suscite des inquiétudes. Edwards souligne les défis auxquels Berlanga sera confronté contre Alvarez, en avertissant que « Berlanga has been hurt several times… But maybe he can absorb a punch better by being in better shape. » L’issue de ce combat pourrait dépendre de la capacité de Berlanga à résister aux assauts d’Alvarez, bien que ce dernier n’ait pas enregistré de KO depuis un certain temps.
En conclusion, il est indéniable que le monde de la boxe continue à évoluer, avec ses luttes internes, ses rivalités et ses champions en quête de gloire. Comme le dit si bien Edwards, chaque combattant doit prouver sa valeur sur le ring, et les fans ne peuvent que s’inquiéter des probables affrontements à venir. Dans cette ère aussi incertaine que fascinante, nous attendons avec impatience les prochaines batailles qui façonneront l’avenir de ce sport.
Profitez de la passion de la boxe, et restez à l’affût des prochaines actualités !