Dana White, le célèbre président de l’UFC, a récemment confirmé qu’il ne rejoindrait pas l’administration du président élu Donald Trump. « Il n’y a rien de plus sale que la politique », a-t-il déclaré avec sa franchise habituelle.

En tant qu’expert en sports de combat, il est fascinant de voir comment Dana, connu pour être un homme direct et sans filtre, reste concentré sur sa passion : les arts martiaux mixtes. Un proche du monde des affaires, il a préféré maintenir son engagement total envers l’UFC, une organisation qu’il a contribuée à bâtir en un empire mondial.

Lors de la dernière campagne électorale, White avait ouvertement soutenu Trump, apparaissant même lors de la Convention nationale républicaine pour défendre les valeurs entrepreneuriales du candidat. Pourtant, lorsqu’on l’a interrogé sur la possibilité de rejoindre le cabinet présidentiel, il a simplement coupé court aux spéculations, rappelant son dédain pour la politique.

Les amateurs de combat pourraient se demander ce qui aurait pu arriver s’il avait fait le saut vers la scène politique. Cependant, Dana White n’est pas un inconnu des décisions controversées — c’est un homme d’affaires redouté, célèbre pour ses décisions stratégiques et ses prises de position audacieuses.

L’un ancien combattant de l’UFC avait plaisanté en disant que White, avec son franc-parler et sa détermination sans faille, aurait probablement secoué Washington comme il l’a fait avec l’octogone. Pourtant, pour cet homme qui a transformé les 76 KG poids lourds en vedettes mondiales, la politique reste un domaine trop éloigné des valeurs qu’il chérit.

Cet événement rappelle à quel point Dana White est attaché à l’univers de l’UFC. Dans un monde en constante évolution, il reste un pilier inébranlable, fermement engagé à amplifier l’envergure des sports de combat au-delà des frontières traditionnelles.

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