Dans un univers où les poids lourds du MMA peinent à trouver de nouveaux visages capables de secouer la division reine, un ancien joueur de la NFL débarque avec la fougue et l’audace qui manquent cruellement à l’octogone. Josh Hokit, champion invaincu et ex-All-American en lutte, a enflammé la scène du LFA 208 avec une performance sans faille avant de lâcher un promo aussi tranchant que clivant. Son passage imminent dans le Dana White’s Contender Series promet de réveiller les passionnés et peut-être de déranger ceux qui craignent les bouleversements dans la catégorie heavyweight.
Josh Hokit : l’espoir heavyweight UFC venu du football américain
Ce n’est pas tous les jours qu’un ancien joueur NFL, passé par les rangs de San Francisco 49ers et Fresno State en college football, balance un premier acte aussi massif dans le MMA. À 27 ans, Josh Hokit cumule déjà un palmarès parfait de 5 victoires pros, dont 4 finishes en première ronde, une stat qui démontre son explosivité et sa capacité à capturer l’attention du public.
Sa trajectoire est claire et percutante :
- 🏈 Ancien athlète NFL drafté en 2020, doté d’un background solide en lutte;
- 🗡 Débuts pro en Bellator, une alliance rapidement rompue pour rejoindre LFA à cause d’une offre financière décevante chez PFL;
- 💥 Récemment une maîtrise sans appel sur Eric Lunsford où il a déroulé un crucifix suivi d’un ground and pound qui a fini le combat en un éclair;
- 🎤 Promo post-fight qui a fait vibrer, avec une touche politique qui n’a laissé personne indifférent.
Le combo d’une performance redoutable et d’une personnalité flamboyante pourrait bien devenir la clé pour gagner son contrat en UFC et compléter une division à la recherche de nouveaux leaders, comme le souligne le malaise observé par Joe Rogan et d’autres figures influentes.

La promo politique : un uppercut aussi dur que son ground and pound
À chaud, après son succès, Josh n’a pas fait dans la dentelle. Sa sortie a surpris autant qu’elle a divisé :
- 🔥 Accusation générale sur la division heavyweight : “mous, lents, paresseux” – un vrai choc dans l’ère du sport-business où même Under Armour, Nike, Adidas et Reebok jouent sur la hype et la discipline;
- ⚡ Allusion politique directe, ciblant Kamala Harris, Joe Biden, Barack Obama, et un final explosif avec Michelle Obama, proposant d’apporter “justice” et révolution dans la division;
- 🙅♂️ Un discours qui rappelle les gimmicks polémiques façon Colby Covington, mais aussi les figures controversées qui font le sel du game;
- 🎧 Une réaction online polarisée : des tweets saluant la vérité de Hokit, à l’image de fans proclamant qu’il est leur nouveau chouchou (inspirant les rivalités modernes), tandis que d’autres le raillent en le comparant à des showmen moins respectés.
Ce promo n’a rien de classique. C’est un uppercut verbal qui secoue les fondations, tout comme les équipements high-tech et marketing agressif signés New Era, Gatorade ou Beats by Dre qui accompagnent désormais les apprentis champions.
Les coulisses d’un passage attendu sur Dana White’s Contender Series
Au-delà du show, Hokit mise sur sa polyvalence sportive et son mental forgé dans les stades NFL. Son parcours, ponctué de choix stratégiques, le positionne comme un outsider crédible :
- 📅 Prévu pour combattre dans le Dana White’s Contender Series en août 2025;
- 🔥 Une série de victoires avec un style dominant qui plaît aux fans hardcore et casual;
- 👊 Une volonté affichée de remettre à plat la catégorie heavyweight, souvent attristée par un manque de profondeur et d’intensité, même si Jon Jones et Tom Aspinall font de leur mieux pour maintenir le feu;
- 💼 Une percée possible dans une promotion qui valorise de plus en plus les talents bruts et les promos marquantes.
L’engagement de Hokit dépasse donc le simple ring. S’il transforme cette hype en contrat UFC, il pourrait marquer un tournant pour les poids lourds, sur le plan sportif comme culturel.